Madeleine DESTRUEL

Toutes mes coondoléances pour cette fin d'un monde ancré, local, progressite, humaniste et ouvert à l'autre; je ne peux me libérer cet après-midi, merci de m'avoir prévenue, je mm'associe à votre tristesse,
Maïté, As Tambourets

Pour MADO,

Vous étiez une Belle Personne Madeleine!
C'est malheureusement dans les longs mois qui ont précédé le décès de Jacqueline  votre fille tant aimée, que j'ai pu apprécier votre courage, et votre force de vie. 
Dignité et Amour

Depuis je ne vous ai pas revue, mais les nombreuses vidéos transmises par Jean-Pierre, votre gendre m'ont permis de vous retrouver chez vous, à lEHPAD, toujours aussi vive, pleine d'humour et de sagesse, racontant votre enfance, ou l'événement de la journée avec votre sourire coquin et parfois vos éclats de rire.
Dans l'une de ces vidéos, vous avez parlé de moi et de mes Pyrénées, c'était comme une claque au temps qui passe, une échappée belle, pleine de tendresse.

Sur la porte de la chambre mortuaire où vous vous trouviez, sous votre nom il y avait un petit oiseau. Quel signe merveilleux! Vous en aviez la finesse, la légèreté et le chant harmonieux, et comme lui l'œil perpétuellement aux aguets. 
Et comme lui, sans crier gare, vous vous êtes envolée vers d'autres cieux. 

Il me plaît de penser, que quel que soit l'endroit où vous vous poserez, pour ce repos bien mérité que l'on dit éternel, vous continuerez de regarder le monde autour de vous avec ce  regard doux et coquin auquel nous étions habitués. 

Nous ne vous oublierons pas Madeleine. Reposez en paix. Nous vous aimons.

Sincères condoléances à tous ceux qui vous aiment.

Fan PICHON
Jacky LELLOUCHE

Lucide jusqu’à ta fin, trop attachée à la vie pour en gaspiller l’aventure, tu as choisi de la quitter avant les humiliations du déclin. Jacqueline aurait été fière de sa maman.

Je me souviens des journées que tu passais à l’hôpital au côté de Linette maitrisant ton chagrin, soucieuse de ne pas perdre une seconde du temps que tu pouvais partager.

Je me souviens de quelques jours passés à Santa Marina, de la complicité immédiate qui vous avait rapproché avec Francine quand nous vous laissâmes toutes deux à Bélvès pour quelques jours.

Je me souviens de toi à Périgueux puis à l’EPHAD, merveilleuse force de vie qui affirme que l’homme est fait pour vivre et non pour mourir.
Merci d’avoir vécu, Madeleine.

Anne-Marie et Zadig

Cher Guy, Chère Véronique, Chers tous,
Je vous poste ici ce message, quelle fierté d'avoir eu une grand-tante comme Madeleine, une personnalité, une humanité exceptionnelle qui nous a tant apporté.
Il y a tant de moments, de joie ou plus difficiles, tant de photos, comme pour ses 90 ans, mais en voici une récente où nous étions au mieux.
Je vous embrasse fort.